Après avoir salué la présence d’Eric Brunel, passerelle de la soirée, le président rappelle l’opération ‘don du sang’ des 4 et 5 avril. Une fiche passe pour que s’inscrivent les retardataires pour les permanences ou l’animation du car–podium, fourni par le Crédit Agricole. Jean-Jacques rappelle aussi la représentation du club à la Conférence de District par J.P.Guillou et par lui-même, le 5 avril à Rennes. A cette Conférence, D.Champs parlera du RYLA, auquel sont inscrits 23 participants, organisé par J.Rivoallan, D.Morvan et lui-même pour Quimper-Centre, Y.Halna du Fretay et P.Mazerand pour Quimper-Odet.
Si vous avez des corrections ou de nouveaux éléments à apporter au mini-annuaire, c’est le moment : adressez-vous à Hubert Poupard, qui prend le relais de Lucien.
M.T. de Parades, qui va mieux, est rentrée chez elle, et nous salue bien.
P.Salou annonce le tournoi de Golf pour le dimanche 3 août, et souhaite que nous fassions l’effort de solliciter de nouvelles entreprises, pour faire aussi bien que l’année dernière. Ayant reçu les vœux du club, elle ne seront pas re-contactées pour l’annonce du tournoi, mais nous les inviterons au ‘’pot’’ de fin de journée. Le concept d’aide au handicap doit être élargi, il y a de grands besoins en ce domaine. Les chèques sont à transmettre à Pierrick Bazin, avant le 27 mai, date limite.
C’est au tour d’Alain (il n’y en a qu’un) de nous compter – pardon : de nous conter – ses impressions de voyage chez les indiens (le terme hindou correspond à la pratique religieuse de l’hindouisme soit 82% des habitants, contre 13% de musulmans et 2,5% de chrétiens ). Un milliard cent vingt millions d’habitants, un P.N.B. à 820 $ ( 44 fois moindre qu’en France, mais en croissance de 9% l’an ), 18 langues ( dont l’anglais, l’indi, le chinois… précisera Antoinette) et de multiples dialectes, de nombreuse divisions ( castes, religions , ‘’états’’ ou corporations…). Alain a été marqué par les mariages (‘’arrangés’’, coûtant cher) les rues bruyantes, sans feux rouges, évoquant ‘’chez nous il y a 60ans’’, l’élégance des indiennes ( mais où les a-t-il rencontrées, puisqu’il nous dit qu’elles sont ‘’ tenues confinées à l’intérieur’’ ?), ‘’le buste un peu visible au niveau de la taille’’ des femmes mariées…Pour finir, il nous situe l’Assam, à la frontière de la Chine, petit pays dont l’accès passe par un étroit couloir d’une vingtaine de kms. entre Bhutan et Bangladesh.
Antoinette commente ensuite le diaporama présenté par Walter. Sept jours sur le Brahmapoutre, ‘’fils de Brama’’, qui traverse en serpentant l’Assam à l’instar de nos voyageurs, que l’on surprend, au détour d’une boucle de la rivière bordée de falaises sablonneuses, bramant leur émouvant cantique anti-aquatique ‘’Pado’’ face à la statuette de Ricard, local dieu du fleuve très probablement. Hormis cette parenthèse mystique, nous avons pu partager quelques scènes villageoises, dans les précaires paillotes à reconstruire après chaque colère du fleuve que la mousson rend violent, admirer la grâce des danseuses, la beauté des saris, le travail dans les rizières, l’art du tissage local, et présumer de celui de la navigation ‘’à la couleur de l’eau’’ entre bancs de sable fluctuant et berges instables. Le voyage s’est prolongé vers nos anciens…comptoirs (entre autres), où nous serons invités ultérieurement à étancher notre soif de découvertes ! Bravo à nos artistes pour la qualité de leurs exposés, et aussi pour la rapidité avec laquelle ils ont fait face à la demande, et merci ! Où c’est terminée la soirée, à votre avis ? Au bar de l’Océania bien sûr, P.Mazerand ( et Annie )nous y offrant le champagne pour son anniversaire ! A la bonne tienne, Pierre
Si vous avez des corrections ou de nouveaux éléments à apporter au mini-annuaire, c’est le moment : adressez-vous à Hubert Poupard, qui prend le relais de Lucien.
M.T. de Parades, qui va mieux, est rentrée chez elle, et nous salue bien.
P.Salou annonce le tournoi de Golf pour le dimanche 3 août, et souhaite que nous fassions l’effort de solliciter de nouvelles entreprises, pour faire aussi bien que l’année dernière. Ayant reçu les vœux du club, elle ne seront pas re-contactées pour l’annonce du tournoi, mais nous les inviterons au ‘’pot’’ de fin de journée. Le concept d’aide au handicap doit être élargi, il y a de grands besoins en ce domaine. Les chèques sont à transmettre à Pierrick Bazin, avant le 27 mai, date limite.
C’est au tour d’Alain (il n’y en a qu’un) de nous compter – pardon : de nous conter – ses impressions de voyage chez les indiens (le terme hindou correspond à la pratique religieuse de l’hindouisme soit 82% des habitants, contre 13% de musulmans et 2,5% de chrétiens ). Un milliard cent vingt millions d’habitants, un P.N.B. à 820 $ ( 44 fois moindre qu’en France, mais en croissance de 9% l’an ), 18 langues ( dont l’anglais, l’indi, le chinois… précisera Antoinette) et de multiples dialectes, de nombreuse divisions ( castes, religions , ‘’états’’ ou corporations…). Alain a été marqué par les mariages (‘’arrangés’’, coûtant cher) les rues bruyantes, sans feux rouges, évoquant ‘’chez nous il y a 60ans’’, l’élégance des indiennes ( mais où les a-t-il rencontrées, puisqu’il nous dit qu’elles sont ‘’ tenues confinées à l’intérieur’’ ?), ‘’le buste un peu visible au niveau de la taille’’ des femmes mariées…Pour finir, il nous situe l’Assam, à la frontière de la Chine, petit pays dont l’accès passe par un étroit couloir d’une vingtaine de kms. entre Bhutan et Bangladesh.
Antoinette commente ensuite le diaporama présenté par Walter. Sept jours sur le Brahmapoutre, ‘’fils de Brama’’, qui traverse en serpentant l’Assam à l’instar de nos voyageurs, que l’on surprend, au détour d’une boucle de la rivière bordée de falaises sablonneuses, bramant leur émouvant cantique anti-aquatique ‘’Pado’’ face à la statuette de Ricard, local dieu du fleuve très probablement. Hormis cette parenthèse mystique, nous avons pu partager quelques scènes villageoises, dans les précaires paillotes à reconstruire après chaque colère du fleuve que la mousson rend violent, admirer la grâce des danseuses, la beauté des saris, le travail dans les rizières, l’art du tissage local, et présumer de celui de la navigation ‘’à la couleur de l’eau’’ entre bancs de sable fluctuant et berges instables. Le voyage s’est prolongé vers nos anciens…comptoirs (entre autres), où nous serons invités ultérieurement à étancher notre soif de découvertes ! Bravo à nos artistes pour la qualité de leurs exposés, et aussi pour la rapidité avec laquelle ils ont fait face à la demande, et merci ! Où c’est terminée la soirée, à votre avis ? Au bar de l’Océania bien sûr, P.Mazerand ( et Annie )nous y offrant le champagne pour son anniversaire ! A la bonne tienne, Pierre
JP Guillou
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