Compte rendu : fête du Club info du 25 janvier 2008

La soirée des vœux se déroulait au restaurant Ty Coz, chez Monsieur et Madame Despinasse. Outre un grand nombre de membres présents, et de conjoints, nous avions le plaisir d’accueillir Claire Wilhite, et Ségolène, fille d’Hubert et d’Agnès Guillet, chez qui se trouve actuellement la jeune américaine ; celle-ci, sans se faire prier, a exprimé son plaisir d’être parmi nous, témoignant de progrès considérables dans la pratique de notre langue.
Après Après que le Président eût présenté ses vœux à tous, et donné des nouvelles de Marie-Thérèse de Parades, qui va mieux, après son hospitalisation, Christophe Labaeye nous a demandé d’avoir une pensée pour Jacqueline Berthou, retenue près de sa maman au plus mal, et absente comme Yves pour cette raison. Puis Christophe a livré les secrets du déroulement de la soirée, dont il fut l’animateur. Le menu, concocté par Jean-Jacques, fut une succession de bonheurs gastronomiques.
Coté affectif, chacun avait apporté sa contribution à l’échange de ses petits riens qui entretiennent l’amitié, et le sort, servi par les jeunes filles de la soirée, Claire et Ségolène, fit tant et si bien que chacun y trouva son compte, même un certain Hubert, attendu avec Valérie pour que commence la distribution, et qui tenait à montrer à tous combien le hasard l’avait comblé !
Un ‘’buzz’’ endiablé a montré les limites des uns et l’habileté des autres à jouer de la tête et des mains pour maîtriser les pièges tendus par les folles marionnettes présentant les épreuves, que Christophe avait dressées pour la circonstance, et qui ne se calmèrent qu’à la réception de nombreuses tartes à la crème, virtuelles également ( nos hôtes n’auraient pas accepté qu’il en soit autrement…), pour la plus grande joie de l’assistance !
Après les applaudissements mérités à l’adresse du Chef venu se rendre compte de l’état de satisfaction des troupes, la digne assemblée s’est dispersée en se fondant dans la nuit froide, tandis que le patron regardait avec mélancolie la note restée impayée sur le comptoir…

jp guillou